Jean-Claude Meynard a écrit: ( Page 9 )" Cela me remet en mémoire cette citation de toi :
«La plus grande bombe atomique, c’est l’être humain.»
C’est une phrase qu’il convient toujours de méditer..."
" Le moment crucial de chaque artiste est sa transmutation «d'être récepteur»
en «être émetteur»: là , il devient créateur, être rarissime
découvrant son rôle qui consiste à donner..."
Victor Vasarely
Il y a eu plus de crimes perpétrés au nom de l'Amour de la patrie, de l'Amour de Dieu, de l'Amour des hommes, de l'Amour sexuel, de l'Amour parental ou filial, de l'Amour des choses, de l'Amour du jeu, de l'Amour de la justice, du droit, de l'égalité, de l'Amour des animaux..., de l'Amour de la gloire, de l'argent, de la domination, du chef inspiré et providentiel..., qu'au nom de la haine,
qui a cependant plus mauvaise presse...

Pendant que l'on cherche à comprendre, le temps passe et la vie avec lui...
Ce n'est pas l'utopie qui est dangereuse, car elle est indispensable
à l'évolution. C'est le dogmatisme, que certains utilisent pour
maintenir leur pouvoir, leurs prérogatives et leur dominance...
" Si je contractais une pneumonie, je serais heureux de recevoir de la pénicilline. Mais pourquoi ai-je contracté une pneumonie ? Parce que j'étais en inhibition de l'action, consciente ou inconsciente. Or, même en convoquant mon entourage familial, professionnel..., tous ceux qui remplissent ma niche environnementale, en scrutant l'établissement défectueux de mes relations interpersonnelles, de classes, de groupe..., on ne pourra jamais connaître le contenu de ce que les phénoménologistes appelleraient mon "vécu" que je suis moi-même incapable de pénétrer. Or nous négocions notre instant présent avec tout notre acquis antérieur, depuis notre naissance et peut-être avant. Avec ce que l'environnement, familial en particulier, a fait de notre cerveau immature à la naissance, pendant cette période de l'"empreinte" où nous ne savons pas encore qui nous sommes dans un milieu différent de nous, cette période où nous mémorisons sans savoir que c'est nous qui mémorisons. Nous négocions notre instant présent avec tout notre apprentissage, nos automatismes, tout ce monde inconscient qui vit en nous et constitue ce qu'il est convenu d'appeler une personnalité humaine. C'est cet ensemble invisible, inconnu, qui décide de mon inhibition ou de mon action à un moment donné de mon histoire et qui va donc présider à ma santé ou à ma maladie. Mais alors qui est malade et par rapport à quelles normes ? Est-ce l'individu à son niveau d'organisation psychobiologique, ou l'environnement social qui l'englobe ?"

" Ne vous contentez pas d'observer les faits,
essayez de pénétrer le mystère de leur origine..."
Ivan Pavlov

qui a cependant plus mauvaise presse...

Pendant que l'on cherche à comprendre, le temps passe et la vie avec lui...
Ce n'est pas l'utopie qui est dangereuse, car elle est indispensable
à l'évolution. C'est le dogmatisme, que certains utilisent pour
maintenir leur pouvoir, leurs prérogatives et leur dominance...
" Si je contractais une pneumonie, je serais heureux de recevoir de la pénicilline. Mais pourquoi ai-je contracté une pneumonie ? Parce que j'étais en inhibition de l'action, consciente ou inconsciente. Or, même en convoquant mon entourage familial, professionnel..., tous ceux qui remplissent ma niche environnementale, en scrutant l'établissement défectueux de mes relations interpersonnelles, de classes, de groupe..., on ne pourra jamais connaître le contenu de ce que les phénoménologistes appelleraient mon "vécu" que je suis moi-même incapable de pénétrer. Or nous négocions notre instant présent avec tout notre acquis antérieur, depuis notre naissance et peut-être avant. Avec ce que l'environnement, familial en particulier, a fait de notre cerveau immature à la naissance, pendant cette période de l'"empreinte" où nous ne savons pas encore qui nous sommes dans un milieu différent de nous, cette période où nous mémorisons sans savoir que c'est nous qui mémorisons. Nous négocions notre instant présent avec tout notre apprentissage, nos automatismes, tout ce monde inconscient qui vit en nous et constitue ce qu'il est convenu d'appeler une personnalité humaine. C'est cet ensemble invisible, inconnu, qui décide de mon inhibition ou de mon action à un moment donné de mon histoire et qui va donc présider à ma santé ou à ma maladie. Mais alors qui est malade et par rapport à quelles normes ? Est-ce l'individu à son niveau d'organisation psychobiologique, ou l'environnement social qui l'englobe ?"

" Ne vous contentez pas d'observer les faits,
essayez de pénétrer le mystère de leur origine..."
Ivan Pavlov
