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Psychanalyste
Nom d’utilisateur:
Freud
Localisation:
Vienne (Autriche)
Dates:
1956-1939
Sexe:
Homme
Oeuvres:

Un peu de cocaïne pour me délier la langue

Études sur l'hystérie

Lettres à Wilhelm Fliess

L'Interprétation des rêvesImage

Sur le rêveImage

Psychopathologie de la vie quotidienne

Trois essais sur la théorie sexuelleImage

Le mot d'esprit et sa relation à l'inconscientImage

Le délire et les rêves dans la Gradiva de Wilhelm JensenImage

Cinq leçons sur la psychanalyseImage

Un souvenir d'enfance de Léonard de VinciImage

Le Président SchreberImage

Cinq PsychanalysesImage

La technique psychanalytiqueImage

Totem et TabouImage

La prédisposition à la névrose obsessionnelle

Pour introduire le narcissismeImage

Névrose, psychose et perversionImage

Le Moïse de Michel-AngeImage

Contribution à l'histoire du mouvement psychanalytique

MétapsychologieImage

Considérations actuelles sur la guerre et la mort

Introduction à la psychanalyseImage

Deuil et mélancolieImage

L'inquiétante étrangeté et autres essais

On bat un enfant

Psychogenèse d'un cas d'homosexualité féminine

Au-delà du principe de plaisirImage

Psychologie des masses et analyse du moi

De quelques mécanismes névrotiques dans la jalousie, la paranoïa et l'homosexualité

Le Moi et le Ça

Le problème économique du masochisme

Inhibition, symptôme et angoisseImage

L'avenir d'une illusionImage

La question de l'analyse profane

Malaise dans la civilisationImage

Nouvelles conférences sur la psychanalyse

Pourquoi la guerre ?

Abrégé de psychanalyseImage

Analyse terminée et analyse interminable

Résultats, idées, problèmes

Un mot à propos de l’antisémitisme

L'homme Moïse et la religion monothéisteImage

Mémoire, souvenirs, oublis

Essais de psychanalyse
Citations:
[center]Image


" La torture que s’inflige le mélancolique et qui, indubitablement, lui procure de la jouissance, représente, tout comme le phénomène correspondant dans la névrose obsessionnelle, la satisfaction de tendances sadiques et haineuses qui, visant un objet ont subi de cette façon un retournement sur la personne propre. D’habitude, dans les deux affections, les malades parviennent encore, par le détour de l’autopunition, à tirer vengeance des objets originaires et à torturer ceux qu’ils aiment par le moyen de leur maladie, après s’être réfugiés dans la maladie afin de ne pas être obligés de leur manifester directement leur hostilité."
(Métapsychologie)

"Un des résultats les plus précieux de nos investigations psychanalytiques est de montrer que les névrosés n'ont pas de contenu psychique particulier, qui leur appartienne en propre, mais que, comme le dit C. G. Jung, les complexes qui les rendent malades sont ceux-là mêmes contre lesquels nous, hommes sains, nous combattons. La différence est simplement que les personnes saines savent maîtriser ces complexes sans gros dommages décelables pratiquement, alors que les névrosés ne réussissent la répression de ces complexes qu'au prix de formations substitutives coûteuses, donc pratiquement n'y réussissent pas..." p15
Les théories sexuelles infantiles - in La vie sexuelle
Puf ISBN 2 13 044723 6 ISSN 0768-4096
13ème édition : avril 2002

" Au commencement était l'action..."
( phrase "empruntée" à Goethe )

" La psychanalyse par elle-même n'est ni pour ou contre la religion ; c'est l'instrument impartial qui peut servir au clergé comme au monde laïque lorsqu'il n'est utilisé que pour libérer les gens de leur souffrance."

" Non, la science n'est pas une illusion. Mais ce serait une illusion de croire que nous puissions trouver ailleurs ce qu'elle ne peut pas nous donner."

" Si les pulsions d'auto-conservation sont elles aussi de nature libidinale, il n'y a peut-être absolument pas d'autres pulsions que libidinales. Du moins n'en existe-t-il pas d'autres qui soient visibles. Mais alors, il faudrait donner raison aux critiques qui ont cru pressentir dès le début que la psychanalyse expliquait tout par la sexualité ou aux novateurs comme Jung qui, hâtivement, ont utilisé le terme de libido dans le sens de "force de pulsion" en général. Doit-il en être ainsi ? Une telle conclusion ne serait pas du tout conforme à notre intention. Nous sommes bien plutôt partis d'une distinction tranchée entre pulsions du moi = pulsions de mort, et pulsions sexuelles = pulsions de vie. p. 112
[ Au-delà du principe de plaisir ( ch.6 ) ] in Essais de psychanalyse - Payot

" Nous étions même prêts à mettre aussi les prétendues pulsions d'auto-conservation du moi au nombre des pulsions de mort, proposition que nous n'avons pas maintenu en rectifiant ensuite nos vues. Notre conception était dès le début dualiste et elle l'est encore aujourd'hui de façon plus tranchée, dès l'instant où les termes opposés ne sont plus pour nous pulsions du moi - pulsions sexuelles, mais pulsions de vie - pulsions de mort..." p.112
[ Au-delà du principe de plaisir ( ch.6 ) ] in Essais de psychanalyse - Payot

" L'homme énergique et qui réussit, c'est celui qui parvient à transformer en réalités les fantaisies du désir..."
[ Cinq leçons sur la psychanalyse ]

" Les hommes sont forts, tant qu'ils défendent une idée forte ; ils deviennent impuissants, dès qu'ils veulent s'y opposer..."
[ Cinq leçons sur la psychanalyse ]

" La névrose remplace, à notre époque, le cloître où avaient coutume de se retirer toutes les personnes déçues par la vie ou trop faibles pour la supporter..."

" Si l'humanité était capable de s'instruire par l'observation directe des enfants, j'aurais pu m'épargner la peine d'écrire ce livre. "
(3 essais sur la théorie sexuelle)

"Il existe infiniment plus d'hommes qui acceptent la civilisation en hypocrites que d'hommes vraiment et réellement civilisés." *

" L'opposé du jeu n'est pas le sérieux mais la réalité." ( repris par Winnicott )

"L'homme a un instinct sadique, et la femme un instinct masochiste, lesquels sont inconscients, donc incontrôlables."

" Être normal, c'est aimer et travailler.



Chez la fille, il n'est pas de désir plus grand que celui de protection par le père."

L'accumulation met fin à l'impression de hasard.
Au commencement des temps, les mots et la magie étaient une seule et même chose.

Quand on m'attaque, je peux me défendre ; mais devant les louanges, je suis sans défense.

S'il est librement choisi, tout métier devient source de joies particulières, en tant qu'il permet de tirer profit de penchants affectifs et d'énergies instinctives.

L’humour ne se résigne pas, il défie.

Les qualités de l'objet sexuel, nous les nommerons "excitantes".

Le diable n'est pas autre chose que l'incarnation des pulsions anales érotiques refoulées.

On ne devient pas pervers, on le demeure.

Une fête est un excès permis, voire ordonné.
L'inconscient s'exprime à l'infinitif.

La conscience est la conséquence du renoncement aux pulsions.

Faute de pouvoir voir clair, nous voulons, à tout le moins, voir clairement les obscurités.

Des pensées surgissent subitement dont on ne sait d’où elles viennent : on n’est pas capable non plus de les chasser.

Les souvenirs oubliés ne sont pas perdus.

Les femmes, peu aptes à la sublimation, souffrent d’un trop-plein de libido.

Les femmes, c'est le continent noir.

Le rêve est le gardien du sommeil.

Le rêve ne pense ni ne calcule ; d’une manière générale il ne juge pas : il se contente de transformer.

Le rêve est la satisfaction d’un désir.

Le maintien de la civilisation offre la possibilité d'obtenir de chaque nouvelle génération une nouvelle transformation des penchants, condition d'une civilisation meilleure.

La joie de satisfaire un instinct resté sauvage est incomparablement plus intense que celle d'assouvir un instinct dompté.

Le caractère normal de la vie sexuelle est assuré par la conjonction vers l'objet et le but sexuel de deux courants, celui de la tendresse et celui de la sensualité.

La civilisation est quelque chose d'imposé à une majorité récalcitrante par une minorité ayant compris comment s'approprier les moyens de puissance et de coercition.

Ce qui caractérise toutes les perversions, c'est qu'elles méconnaissent le but essentiel de la sexualité, c'est-à-dire la procréation.

L'activité sexuelle s'est d'abord étayée sur une fonction servant à conserver la vie, dont elle s'est rendue indépendante.

La liberté individuelle n'est nullement un produit culturel.

L'humour a non seulement quelque chose de libérateur, mais encore quelque chose de sublime et d'élevé.

Nous ne sommes jamais aussi mal protégés contre la souffrance que lorsque nous aimons.

Le diable est encore le meilleur subterfuge pour disculper Dieu.

Après trente ans passés à étudier la psychologie féminine, je n'ai toujours pas trouvé de réponse à la grande question : Que veulent-elles au juste ?

Nous ne savons renoncer à rien. Nous ne savons qu'échanger une chose contre une autre.

Au fond, personne ne croit à sa propre mort, et dans son inconscient, chacun est persuadé de son immortalité.

Le bonheur est un rêve d'enfant réalisé dans l'âge adulte.

Le premier homme à jeter une insulte plutôt qu’une pierre est le fondateur de la civilisation.

"On a beau rêver de boissons : quand on a réellement soif, il faut se réveiller pour boire."

"Chaque rêve qui réussit est un accomplissement du désir de dormir."

"Autrui joue toujours dans la vie de l'individu le rôle d'un modèle, d'un objet, d'un associé ou d'un adversaire."

"De quelque manière qu'on s'y prenne on s'y prend toujours mal."

"Les grandes choses peuvent se manifester par de petits signes."

"Si tu veux pouvoir supporter la vie, sois prêt à accepter la mort !"

"Nous ne sommes jamais aussi mal protégés contre la souffrance que lorsque nous aimons..."

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